Épidémie de gastroentérite, augmentation du prix des matières premières, délai prolongé des livraisons, arrêt des transports, attaque des serveurs, démission …   
Les semaines passent, les « soucis » mutent.

Les problèmes réclament l’attention imminente du management et des leaders qui, n’ayant pas le don ubiquité, annulent les bilatérales pour combattre ces monstres.

La dernière enquête de Gallup nous apprend que plus de 50% des collaborateurs des entreprises ne savent plus ce qui est attendu d’eux !

Et les cahiers des charges, me direz-vous. Certes, mais ils ne sont pas circonstanciés. Le contrat de base est sans doute explicite, mais pas contextualisé.

Ainsi, en pensant bien faire, chaque cadre y va de son interprétation de ce qui doit être fait, avec ce qu’il perçoit de la situation.

La déception – l’épine du cactus – arrive lorsqu’il reçoit un feedback « constructif » de ce qu’il aurait dû faire, pu faire, alors qu’aucune entente n’avait été scellée auparavant.

Je continue à penser que ne pas « écouter – répondre » aux besoins de ses équipes – ne serait-ce que 10 minutes – est un crime de lèse management.

S’entendre sur les attentes et les intentions de ce qui serait OK, voire excellent, est critique dans la gestion des ressources.

Les collaborateurs sont suffisamment professionnels et entrainés pour traduire cela en objectifs et faire ce qu’il faut.

C’est là qu’ils attendent du feedback qui va les nourrir et les motiver pour continuer à tenir debout en ces circonstances « compliquées ».

Combien de temps utilisez-vous à clarifier les intentions?

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